Inter Milan Fans Corner-Nerazzurri-

Suite aux incidents de mercredi en quarts de finale de la Ligue des champions, la commission de discipline de l'UEFA a confirmé la qualification du Milan AC pour les demi-finales et condamné l'Inter à disputer six matches à huis clos, dont deux avec sursis. D'autre part un supporter Nerazzuro a été interdit trois ans de stade. En plus d'une lourde amende pour l'Inter

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Histoire

Les débuts
L'Inter est fondé le 9 mars 1908, par des dissidents du Milan AC qui lui reprochaient de n'engager que des joueurs italiens. Le club gagna son premier Scudetto en 1910 puis il lui fallut attendre 1920 pour le remporter de nouveau. Le capitaine et entraîneur de l'équipe championne de 1910 fut Virgilio Fossati (né à Milan) mais il mourut pendant la Première Guerre mondiale, c'est son frère qui gagna le deuxième championnat.

L'entre-deux-guerres
L'Inter a dû changer de nom en Ambrosiana puis Ambrosiana-Inter sur la demande du régime de Benito Mussolini à cause de la connotation du mot international qui était trop communiste à leur goût. Mais cela n'empêche pas le club de faire partie des meilleurs clubs italiens et de remporter même son troisième scudetto en 1930 puis de le gagner à nouveau en 1938 et 1940. En 1942, le club retrouve son nom d'origine Inter.

La Grande Inter
Après la Seconde Guerre mondiale, l'Inter continue de remporter le championnat (1953 et 1954) et entre dans les plus belles années de son histoire où on le surnomme La Grande Inter (le grand Inter). Durant cette période, le club gagne trois championnats (1963, 1965 et 1966) mais surtout s'impose en Coupe des clubs champions européens à deux reprises en 1964 (contre le Real Madrid d'Alfredo Di Stefano) et en 1965 (contre le Benfica Lisbonne d'Eusébio) à San Siro et remporte deux Coupes intercontinentales les mêmes années.

L'Inter compte alors dans ses rangs quelques-uns des meilleurs joueurs du monde : Luís Suárez, Alessandro Mazzola ou Giacinto Facchetti. Le président de l'époque Angelo Moratti (père de Massimo Moratti) n'hésite pas à offrir, en vain, d'importantes sommes d'argent dans le but de recruter Pelé ou Eusébio, tous deux réceptifs mais les politiques totalitaires du Brésil et du Portugal empêchent toute transaction. Cette période dorée se termine en 1967 après une nouvelle finale de Coupe des clubs champions européens, perdue, contre le Celtic FC.

De 1970 à aujourd'hui
Après la décennie de rêve, l'Inter remporte en 1971 son onziène Scudetto et son douzième en 1980 et connaît une nouvelle finale de Coupe des clubs champions européens en 1972, perdue contre le club qui domine alors le football : l'Ajax Amsterdam de Johan Cruyff. À côté de cela, l'Inter rajoute deux victoires en Coupe d'Italie en 1978 et 1982 et il faut attendre 1989 pour voir de nouveau l'Inter s'imposer en championnat devant alors les deux grands clubs du moment : son grand rival milanais Milan AC et le Naples Soccer de Diego Maradona. Ce titre permet à l'Inter de figurer au troisième rang des clubs les plus titrés en championnat.

Les années 1990 sont marquées par trois victoires en Coupe UEFA : 1991, 1994 et 1998 (plus une finale en 1997). Mais malgré les arrivée d'Il Fenomeno Ronaldo, Dennis Bergkamp, Youri Djorkaeff, Christian Vieri ou de Roberto Baggio, aucun d'entre eux ne permit à l'Inter de reconquérir le championnat. Cette supériorité sportive de la juve ont conduit au constat que l'Inter n'avait pas le niveau des deux autres grands clubs italiens malgré des sommes supérieures investis en terme de recrutement et que le club était "maudit" ce qui a provoqué une baisse de notoriété de celui-ci vis-à-vis de ses supporters (baisse du nombre d'abonnés et de spectateurs).

Les années 2000 commencent sur le même tempo, le club n'obtenant que des titres en Coupe d'Italie (2005 et 2006), mais en 2006 suite à l'Affaire des matches truqués du Calcio,qui concerne surtout la juve, le titre est obtenu sur tapis vert pour l'Inter quinze ans après le précédent (le 14e de son histoire). L'effectif est l'un des plus talentueux au monde et compte notamment Marco Materazzi Luis Figo, Patrick Vieira, Zlatan Ibrahimovic (tous deux récupérés à la Juventus), Adriano, Javier Zanetti ou Hernan Crespo entre autres.

Lors de la saison 2006-2007, l'Inter réussit un excellent debut de championnat puisque cette équipe réussit à battre non seulement le record de victoires d'affilée dans le Calcio qui appartenait jusque-là à la Roma avec 11 victoires, mais également le record européen (des championnats considérés de premier niveau, à savoir italien, espagnol, anglais, allemand et français) qui était détenu conjointement par le grand Real Madrid de Di Stefano ainsi que par le Bayern de Munich et l'a poussé à 17 victoires de rang, série achevée par un nul 1-1 contre Udinese le 28 février 2007.

Le début de la saison 2006-2007 est cependant marqué par le décès du président et ancien joueur, Giacinto « Cippe » Facchetti, le 4 septembre à l'âge de 64 ans. Le 6 septembre, le match opposant la France à l'Italie pour le compte des éliminatoires de l'Euro 2008 débute sur une minute de silence durant laquelle les 80 000 spectateurs du stade de France honorent de leurs applaudissements le glorieux défunt. Le 8 septembre, l'UEFA autorise l'Inter à retirer le numéro 3 à l'Argentin Nicolas Burdisso qui se voit attribuer le numéro 16 pour la saison à venir. En championnat, l'Inter bat le record de nombre de victoires consécutives de l'histoire du Calcio et le 22 avril 2007 l'Inter conserve leur titre de scudetto (sur le terrain cette fois-ci) qu'ils dominèrent du début à la fin (Le quinzième de l'Histoire du club Nerazzurro).

Palmarès
Coupe Intercontinentale (2) :
Vainqueur : 1964 et 1965.
Coupe d'Europe des clubs champions (2) :
Vainqueur : 1964 et 1965.
Coupe UEFA (3) :
Vainqueur : 1991, 1994 et 1998.
Coupe Mitropa :
Finaliste : 1933.
Championnat d'Italie (15) :
Champion : 1910, 1920, 1930, 1938, 1940, 1953, 1954, 1963, 1965, 1966, 1971, 1980, 1989, 2006* et 2007
Vice-champion : 1933, 1934, 1935, 1941, 1949, 1951, 1962, 1964, 1967, 1970, 1993, 1998 et 2003.
Coupe d'Italie (5) :
Vainqueur : 1939, 1978, 1982, 2005 et 2006.
Finaliste : 1959, 1965, 1977, 2000 et 2007
Supercoupe d'Italie (3) :
Vainqueur : 1989, 2005 et 2006.

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L’Inter, roi sans partage
Après la relégation sur tapis vert de la Juventus et les pénalités reçues par le Milan AC ou la Fiorentina, l’Inter était grand favori à sa propre succession. En explosant tous les records, les Intéristes n’ont jamais douté, et laissé la Roma loin derrière.

Par Julien Pedebos

Le champion : Inter Milan
Quatre-vingt-dix-sept points. Trente victoires, sept nuls et une seule défaite. Le bilan de l’Inter Milan est tout simplement historique. Avec notamment une série de dix-sept victoires consécutives, les hommes de Roberto Mancini ont dominé sans le moindre doute cet opus 2006/07 du Calcio. La première place a définitivement été prise au soir de la 12ème journée, alors qu’au final, les Nerrazzuri terminent avec une hallucinante avance de vingt-quatre points sur la Roma. La qualité de jeu ayant, de plus, souvent été de mise, les tifosi de San Siro ont vécu de beaux moments lors des rencontres de Serie A. La meilleure attaque d’Italie, emmenée par le trio Ibrahimovic-Crespo-Materazzi (!), auteurs à eux trois de la moitié des 80 buts inscrits par l’Inter cette saison, n’a épargné personne. Espérons tout de même, pour le spectacle, que la concurrence sera plus féroce l’an prochain. Cependant, deux bémols sont venus ternir cette ballade de santé. L’élimination en Ligue des Champions face à Valence en huitièmes de finale tout d’abord, alors que l’Inter figurait parmi les grands favoris de la compétition. Mais aussi la finale de la Coupe d’Italie perdue face à la Roma, qui a montré, le temps d’un 6-2 qui restera gravé dans les mémoires, que l’ogre peut parfois vaciller. Mancini rendait cependant à la fin de la saison un vibrant hommage aux supporters : «Vous avez eu beaucoup de patience mais cette saison a valu le coup. J’applaudis les joueurs qui ont fait un championnat fantastique et qui méritent de l’avoir remporté, et j’applaudis également les tifosi qui nous ont toujours soutenus»

Direction la Ligue des Champions : AS Roma, Lazio Rome, Milan AC
A l’issue de la saison, trois clubs italiens sont assurés de participer aux phases de poules de la Ligue des Champions, et un seul devra disputer le tour préliminaire. Outre l’Inter Milan, l’AS Roma est la première formation directement qualifiée. Deuxième du championnat avec une large avance sur la Lazio de Rome, les hommes de Luciano Spalletti ont fait ce que l’on attendait d’eux, à savoir obtenir la place de dauphin du grandissime favori intériste. Les Romains ont en plus ajouté un beau parcours en Ligue des Champions, stoppé en quarts de finale par Manchester, après avoir éliminé Lyon, mais aussi une Coupe d’Italie, où les Giallorossi ont pris leur revanche sur les vainqueurs du championnat. Le Milan AC est également privé de tour préliminaire la saison prochaine. En effet, malgré une quatrième place au classement, la victoire en C1 des Milanais leur permet d’éviter la double confrontation du mois d’août.

Implacables bourreaux du Bayern, Manchester et Liverpool, les hommes de Carlo Ancelotti ont finalement rendu brillante une copie qui s’annonçait triste avec les huit points de pénalité infligés l’été dernier, ainsi qu’une très mitigée première partie de saison. La qualification en C1 était l’objectif minimum des hommes de Berlusconi à l’intersaison, mais le bonus, et quel bonus, est que la Coupe aux grandes oreilles est de retour à Milanello dès cette année. La plus grande compétition européenne, la Lazio Rome pourrait la redécouvrir avec plaisir la saison prochaine. Troisième, et donc obligés de passer par le tour préliminaire, les hommes de Delio Rossi se contenteront certainement de ce strapontin. Le deuxième club romain a parfaitement profité de l’absence de véritables outsiders pour s’immiscer dans le quatuor de tête, en ayant notamment la bonne idée d’accélérer la cadence quand Palerme et Empoli semblaient à bout de souffle. L’époque des Crespo, Veron ou Vieri n’est peut être pas de retour, mais le sourire est déjà revenu du côté des "Ciel et Blanc".

Direction l'UEFA : Fiorentina, Palerme, Empoli
Grâce à la victoire de l’AS Roma en Coupe d’Italie, ce ne sont pas deux mais trois clubs qui disputeront la Coupe UEFA la saison prochaine. Au premier rang, la Fiorentina. Avec quinze points de retard au début de la saison, la Viola avait pour premier objectif de sortir de la zone des relégables. Objectif atteint au soir de la quinzième journée. Son parcours remarquable, puisque sans les pénalités, la Fiorentina aurait fini troisième, tout proche de l’AS Roma, permet à la Viola d’accrocher sans peine l’UEFA. Sébastien Frey et ses partenaires sont attendus au tournant la saison prochaine. Palerme, pour sa part, ressemble à Dr Jekyll et Mr Hyde. Concurrent principal de l’Inter pendant onze journées, avec pas moins de neuf victoires, les hommes de Francesco Guidolin se sont ensuite fortement tassés. Lâchés par la Roma pour la deuxième place, les Palermitains ont connu une terrible série de neuf matches sans victoire après la reprise, qui a étouffé les rêves de Ligue des Champions. Guidolin a été remercié, puis rappelé, et le goût d’inachevé laissé par ses hommes cette saison demande une réaction dès la reprise l’an prochain, avec, un peu comme la Fiorentina, une vraie position d’outsider. Empoli, pour sa part, est une des belles surprises de la saison. Promu il y a deux ans, le club du président Fabrizio Corsi arrache donc un ticket européen. Un parcours solide, agrémenté de quelques belles victoires (deux face à Palerme, une face à l’AS Roma), offre à une formation habituée à la lutte pour le maintien une belle opportunité de découvrir l’Europe.

Les relégués : Chievo Vérone, Messine, Ascoli
Des trois relégués en Serie B cette saison, un seul peut nourrir de réels regrets : le Chievo Vérone. Quatorzième au matin de la dernière journée, les partenaires de Sergio Pellissier ont réussi à perdre quatre places pour finalement terminer dans la zone rouge. Dans une lutte aussi serrée pour ne pas descendre, avec plusieurs formations qui se tenaient en deux ou trois points, le Chievo a commis la terrible erreur de craquer au mauvais moment, et rejoint donc Messine et Ascoli en Serie B. Pour le premier nommé, l’illusion du maintien aura subsisté jusqu’à février. Par la suite, un terrible bilan de six petits points pris en treize journées aura eu raison de la volonté des partenaires de Vincent Candela, arrivé pendant la trêve et finalement écarté dans les dernières semaines, de rester dans l’élite. L’élite, Ascoli, n’a cette saison, jamais eu vraiment l’occasion d’en profiter. Dernier à partir de la quinzième journée, et jamais classé au delà de la treizième place, les hommes de Nedo Sonetti n’ont évité la place de lanterne rouge qu’à la dernière journée, Messine terminant en roue libre.

Les promus
La saison en Serie B étant bien plus longue que dans l’élite, puisqu’à un championnat à 22 clubs succède des barrages pour obtenir l’accession, seul un promu, pour le moment, est connu : la Juventus de Turin. Principales victimes du scandale des matches truqués l’été dernier, avec une relégation et neuf points de pénalité au compteur, les Bianconeri, qui avaient conservé plusieurs cadres (Buffon, Nedved, Kovac, Del Piero, Trezeguet, Zebina), entraînés par Didier Deschamps, ont réussi leur opération Serie A et devraient donc une nouvelle fois jouer le haut du tableau l’an prochain dans l’élite. Avec un objectif avoué de se qualifier pour la Ligue des Champions, et une enveloppe pour les transferts de 100 millions d’euros, l’intersaison s’annonce agitée. Didier Deschamps ayant démissionné, qui va le remplacer ? Le nom de Marcelo Lippi revient avec insistance et les dossiers, pour le nouveau coach turinois, seront chauds. Qui recruter et comment gérer les cas Buffon, Camoranesi ou Trezeguet ? Voilà le type de questions que ne se pose pas le Genoa. Le dauphin de la Juve espère quant à lui uniquement accéder à l’élite, et rien de plus. Cela demandera de ne pas craquer dans les deux dernières journées. Du côté des barragistes potentiels, Naples semble tenir la corde. Deux légendes pourraient donc faire leur retour dans l’élite l’an prochain.

La révélation : Rolando Bianchi
Au sein d’une formation elle aussi pénalisée par les affaires estivales, la Reggina, qui a lutté jusqu’au bout pour le maintien, un homme a été une des révélations de l’année en Série A : le buteur Rolando Bianchi. Agé de tout juste vingt-quatre ans, l’attaquant calabrais a empilé la bagatelle de dix-huit buts cette saison, et est donc pour beaucoup dans l’opération maintien menée à bien par tout le club du président Pasquale Foti. Un président qui risque d’être fortement sollicité cette saison. Déjà, la Juventus, qui cherche à se renforcer offensivement, fait les yeux doux à cet attaquant à la morphologie identique à celle d’un certain David Trezeguet, et nul doute que d’autres formations transalpines devraient se mettre sur les rangs. Gageons donc que l’on reparlera rapidement de ce longiligne attaquant au cours des prochaines saisons du Calcio.

La confirmation : Philippe Méxès
Après un exercice 2005/06 qui avait déjà attisé la curiosité des observateurs, Philippe Méxès, à qui Spalletti avait choisi de faire entière confiance à l’entame de cette saison, était attendu au tournant. Et quelle confirmation ! Avec l’intériste Materazzi, l’axe central type du Calcio est complété sans problème par l’ancien Auxerrois, qui a impressionné tout au long de la saison. Science du placement, dur sur l’homme, bon jeu aérien, belle relance, toute la panoplie précocement entrevue en Bourgogne a sauté aux yeux de la Serie A et même en dehors. En effet, on se souvient notamment de sa prestation face aux Lyonnais, et même plus largement lors de toute la campagne européenne des Romains. Des performances qui ne sont évidemment pas passés inaperçues. Le Real Madrid, intéressé depuis un an déjà, ne relâche pas la pression, le Milan AC est depuis peu sur les rangs, tandis que Manchester garde toujours un œil sur le défenseur à la chevelure blonde. Tous les plus grands clubs européens scrutent donc avec impatience l’évolution de la situation de plus en plus tendue entre Méxès et ses dirigeants, réticents pour le moment à lui offrir une augmentation réclamée. Raymond Domenech, en revanche, semble un des rares à ne pas être séduit. Non retenu face à l’Ukraine et la Géorgie, le choix étonne, tant il est évident, en tout cas de l’autre côté des Alpes, que les Bleus tiennent là le remplaçant de Lilian Thuram.

La déception : Adriano
Mais où est passé Adriano ? Après une fin de saison, l’an passé, en demi-teinte, et un Mondial pour le moins discret, le buteur intériste était attendu au tournant cette saison, et pourtant… Ce n’est pas faute d’avoir évolué dans une équipe performante, puisque l'Inter a, on le rappelle, terminé meilleure attaque du Calcio. Mais quelque chose cloche pour le Brésilien depuis un an et demi. Auteur de cinq petits buts dans cette saison 2006/07, l’ancien buteur parmesan interroge de plus en plus. Face à la concurrence de Crespo et Ibrahimovic, et avec un Cruz toujours présent en cas de pépin, la concurrence est peut être un peu trop féroce en Lombardie. Dès lors, l’idée d’un départ devrait ressurgir cet été. Le Real Madrid, une nouvelle fois, fait figure de principale destination, même si l’association avec Ruud Van Nistelrooy, attaquant au même profil, pourrait être difficile. En tout cas, la valeur du bulldozer auriverde sur le marché a considérablement baissé cette année. Mais reste à savoir qui prendra le risque de relancer un buteur en grave déficit de confiance.

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Inter: Mancini veut toujours Chivu
16/07/2007 - 12:54
Roberto Mancini, l'entraineur de l'Inter Milan, a assuré une nouvelle fois vouloir s'attacher les services de Christian Chivu, le défenseur roumain de l'AS Roma, lors d'un entretien accordé à As. "Les opérations comme celles-là sont très complexes et il faut du temps pour les mener à bien. C'est sur que, comme entraineur, j'espérerai jusqu'au dernier moment car si Chivu vient, il sera pour mon équipe un joueur important, de grande qualité, capable d'occuper trois postes en défense" , a notamment déclaré l'entraîneur des Nerazzurri.

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L'Inter déjà sacré ?
L'Inter, leader sans interruption depuis fin septembre, peut empocher le 16e Scudetto de son histoire lors de la 35e journée.

Fiche club Inter Milan

Président : Massimo Moratti
Entraîneur : Roberto Mancini
Fondé en 1908
Stade : Giuseppe Meazza - Via Piccolomini, 5 - Milano Telefono: 02-40092175
Coordonnées :
Internazionale Football Club S.p.A. Via Durini 24 - 20122 Milano Telefono: 02-77151 Fax: 02-781514 Sito internet: www.inter.it

Effectif Inter Milan

Entraîneur
Roberto Mancini ITA

Gardien(s)
Enrico Alfonso ITA
Soares Espindola Julio César BRA
Paolo Orlandoni ITA
Francesco Toldo ITA

Défenseur(s)
Nicolas Andres Burdisso ARG
Cristian Chivu ROU
Ivan Ramiro Cordoba COL
Dennis Esposito ITA
Ivan Fatic MNE
Daniele Federico ITA
Marco Filippini ITA
Douglas Sisenando Maicon BRA
Marco Materazzi ITA
Cabelino Andrade Maxwell BRA
Daniele Pedrelli ITA
Enrique Lopez Rivas Nelson COL
Walter Adrian Samuel ARG
Javier Zanetti ARG

Milieu(x)
Vitor Hugo Gomes Passos "Pelé" POR
Francesco Bolzoni ITA
Esteban Matias Cambiasso ARG
Aparecido Rodriguez Cesar BRA
Olivier Dacourt FRA
Luis Figo POR
Attila Filkor HUN
Luis Jimenez CHI
Ribeiro Maniche POR
Gabriele Puccio ITA
Luca Siligardi ITA
Santiago Hernan Solari ARG
Dejan Stankovic SRB
Patrick Vieira FRA

Attaquant(s)
Leite Ribeiro Adriano BRA
Mario Balotelli ITA
Hernan Crespo ARG
Julio Ricardo Cruz ARG
Alberto Gerbo ITA
Zlatan Ibrahimovic SWE
Aiman Napoli ITA
Sebastian Ceasr Helios Ribas URU
David Suazo HON

Stats buts Internazionale

Buts marqués : 62 ( 1.77 /match)
Buts encaissés : 21 ( 0.6 /match)
Différence de buts : 41

Meilleurs Buteurs :
Ibrahimovic 15
Cruz 11
Suazo 8
Cambiasso 6
Crespo 4

Palmarès

* Coupe Intercontinentale (2) :
Vainqueur : 1964 et 1965.

* Ligue des champions (2) :
Vainqueur : 1964 et 1965.

* Coupe UEFA (3) :
Vainqueur : 1991, 1994 et 1998.
Finaliste : 1997

* Championnat d'Italie (15) :
Champion : 1910, 1920, 1930 , 1938, 1940, 1953, 1954, 1963, 1965, 1966, 1971, 1980, 1989, 2006[1] et 2007.
Vice-champion : 1933, 1934, 1935, 1941, 1949, 1951, 1962, 1964, 1967, 1970, 1993, 1998 et 2003.

* Coupe d'Italie (5) :
Vainqueur : 1939, 1978, 1982, 2005 et 2006 .
Finaliste : 1959, 1965, 1971, 2000 et 2007.

* Supercoupe d'Italie (3) :
Vainqueur : 1989, 2005 et 2006.
Finaliste : 2000 et 2007.

la domination de l'inter sur le calcio demontre tout simplement que le foot italien va tres mal
le calcio a fait de gros pas en arriere
au temps du catennaccio
vivement le retour de la juve , le milan(AC bien sur) la fiorentina , parme, ... pour voir du beau jeux

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