Rubrique Transfert : les entraineurs

Retour du grand Guy Roux , homme tres respectable qui va soccuper d entrainer Lens pour 2 ans
des infos sur lui dans le sujet de son nouveau club

https://asfar.forumactif.com/FOOTBALL-c3/FOOT-INTERNATIONAL-f6/FC-Lens-fier-d-etre-ch-ti-Sang-et-Or-p32105.htm#32105

Du Blanc à Bordeaux
Ricardo en partance pour Monaco, Bordeaux devrait officialiser vendredi le nom de son nouvel entraîneur : Laurent Blanc. Un beau coup médiatique pour le club, et une belle occasion pour le «Président» de montrer ce qu’il peut faire sur un banc.

Par Cédric Callier

Dans une intersaison marquée par un jeu de chaises musicales quasi sans précédent chez les entraîneurs, Bordeaux devrait officialiser vendredi l’une des signatures les plus retentissantes. A savoir celle d’un certain Laurent Blanc, alias le «Président». Attendu sur un banc de touche depuis maintenant près de quatre ans et la fin de sa carrière de joueur, l’Alésien en finit donc de jouer à l’Arlésienne et devrait parapher un contrat portant sur les deux prochaines saisons. Enfin, il pourra donc répondre à la grande question qu’il, et que tout le monde, se pose : de grand joueur, Laurent Blanc peut-il devenir un grand entraîneur ? Et n’aurait-il pas mieux valu pour lui débuter avec un club moins huppé, où il aurait pu se familiariser dans l’ombre médiatique aux ficelles du métier ? Car à Bordeaux, l’ancien international sera attendu au tournant, dans un club qui reste sur une 2e place en championnat en 2006, suivi d’une victoire en Coupe de la Ligue cette saison. Surtout, il aura la délicate tâche de succéder à un autre grand défenseur de son état, Ricardo, en partance quasi certaine vers Monaco.

Un Blanc plus glamour
Mais si les deux hommes évoluaient au même poste, rien ne dit qu’ils possèderont la même philosophie de jeu. En tout cas, c’est certainement ce que doivent espérer les dirigeants girondins, Nicolas de Tavernost en tête, sans doute un peu lassés de la prudence extrême prônée par le Brésilien. Ce changement de tactique n’est pas cependant la raison principale qui a dû convaincre les responsables de M6 à tenter l’expérience Blanc. En effet, pour se faire une place sous le feu des projecteurs, Bordeaux avait besoin d’un coup médiatique, que les finances du club ne lui permettaient pas d’accomplir avec un joueur. D’où très vite l’idée d’attirer un grand nom sur le banc de touche. La piste Didier Deschamps a ainsi longtemps hanté les coursives du Haillan, sans jamais se confirmer. Un retour de Jean Tigana en Gironde a aussi été évoqué, sans suite. Dès lors, Laurent Blanc s’imposait comme la seule alternative valable. D’autant plus que l’ancien joueur de Montpellier et Manchester United, entre autres, dispose du diplôme d’entraîneur professionnel de football, le fameux DEPF.

Faubert et Mavuba resteront-ils ?
Un diplôme qui vient s’ajouter à une motivation accrue par une longue attente. Un temps annoncé à Marseille, puis à Auxerre, Monaco ou Saint-Etienne, Laurent Blanc avait à chaque fois essuyé un refus poli. En cause : son inexpérience du poste. Un argument recevable, mais qui finissait par devenir intrigant lorsqu’on se rappelle des exemples de Paul Le Guen ou Didier Deschamps, à qui le même procès d’intention n’avait pas été fait. Même Ricardo, son prédécesseur, avait été lâché directement au poste d’entraîneur du Paris SG en 1996. Il était donc temps pour le «Président» de matérialiser son envie. Logiquement, il ne devrait pas venir seul, puisque Jean-Louis Gasset occupera la fonction d’adjoint chargé du terrain. Reste à savoir si l’arrivée d’un champion du monde à la réputation et au charisme certains suffira à remettre un peu d’ordre dans une maison girondine quelque peu bouleversée par une fin de saison en dents de scie. Ainsi, des joueurs clés tels que Mavuba et Faubert ont clairement affiché leur désir d’aller voir ailleurs si l’herbe était plus verte. La personnalité de Laurent Blanc suffira-t-il à les faire changer d’avis ? Ce pourrait bien être en tout cas la première victoire de l’ancien international que d’y parvenir…

source : sport24

Schuster remplacera Capello !

De Sports.fr Bernd Schuster à Madrid ! On aurait pu imaginer qu'avec le titre de champion d'Espagne, Fabio Capello aurait eu les faveurs de Ramon Calderon, le président du Real Madrid. Selon le quotidien espagnol AS, l'arrivée de Bernd Schuster, déjà évoquée dès le mois de mars, aurait été définitivement validée. Charge à l'entraîneur de Getafe de redonner de la vie à une équipe certes championne mais qui aura brillé par son inconstance. La nouvelle devrait être officialisée après la finale de la Coupe du Roi qui opposera samedi Getafe à Séville.

Schuster devrait prendre la suite de Capello à la tête du Real Madrid.Schuster devrait prendre la suite de Capello à la tête du Real Madrid.
Ramon Calderon a tranché. Alors que le président du Real Madrid avait annoncé dimanche, en pleine célébration du titre, son intention de prendre son temps avant de prolonger, ou non, Fabio Capello dans ses fonctions, il semblerait avoir changé d'avis. En effet, selon le quotidien espagnol AS, Calderon aurait définitivement opté en faveur de Bernd Schuster. La rumeur n'est pas nouvelle puisque le nom de l'entraîneur allemand résonnait déjà dans les couloirs du Bernabeu en mars dernier. A l'époque, l'avenir de Fabio Capello au Real ne faisait aucun doute, il s'agissait plutôt de savoir s'il terminerait la saison...

Les temps ont changé et après une fin de saison marquée par sept victoires et un match nul, les Merengue ont arraché le titre de champion des griffes d'un FC Barcelone qui n'a pas su régler ses problèmes internes. Quoiqu'il en soit, fort de cette fin de saison « gagnante » et surtout de l'appui d'un vestiaire dur à gérer et particulièrement puissant, Fabio Capello, sous contrat jusqu'en 2009, avait ouvertement annoncé son espoir de poursuivre sa mission et pensait bien avoir gain de cause.

Calderon seul contre tous

Quelques heures seulement après les célébrations du trentième titre du club, l'Italien expliquait à la Gazzetta son intention de continuer "afin de gagner la Ligue des Champions", reconnaissant par ailleurs qu'il pourrait arrêter sa carrière si le club le mettait dehors. Interrogé par Marca ce mardi, avant que l'information ne soit révélée par AS, Capello expliquait: "J'ai la sensation qu'ils ont l'intention de prendre un nouvel architecte pour un nouveau projet. Je le sens."

Aujourd'hui, rien n'est encore officiel puisque Bernd Schuster doit encore disputer, avec Getafe, la finale de la Coupe du Roi samedi soir contre le FC Séville. Ramon Calderon, président très discuté à Madrid, prend un gros risque en changeant ainsi son fusil d'épaule. Les joueurs n'ont pas oublié quelques sorties indignes de son rang dans la presse et ils ont clairement exprimé leur souhait que Capello reste. Même son de cloche pour son bras droit, Mijatovic, lui aussi partisan du maintien de l'Italien. Contre vents et marées, Calderon a donc tranché.

Cuper nouvel entraîneur du Bétis

L'ex entraîneur de l'Inter Milan puis de Valence Hector Cuper sera nommé lundi à la tête du Bétis Séville. Cet Argentin de 51 ans, aux commandes de Majorque jusqu'en février dernier, sera présenté au même moment à la presse.

salam

on parle beaucoup de Capello pour prendre les rennes de l Angleterre

Klinsmann va remplacer Hitzfeld au poste d'entraîneur du Bayern
Le Bayern de Munich a annoncé vendredi que Juergen Klinsmann remplacerait Ottmar Hitzfeld au poste d'entraîneur du club le 1er juillet prochain.

Juergen Klinsmann a conduit l'Allemagne à la troisième place lors de la Coupe du monde de football 2006.

Klinsmann, qui avait ensuite quitté son poste de sélectionneur, n'a plus entraîné depuis. Il a refusé une offre pour diriger la sélection américaine et son nom avait été associé à de nombreux clubs, dont Liverpool.

Comme joueur, Klinsmann a évolué au Bayern de Munich entre 1995 et 1997.

Le manager général du Bayern, Uli Hoeness, a déclaré que Klinsmann rejoindrait le club sur la base d'un contrat de deux ans, dont il n'a pas révélé le montant. AP

Foot: l'entraîneur Mourinho dessine les contours de "son" Inter




ROME (AFP) — A peine 24 heures après sa nomination, le nouvel entraîneur de l'Inter Jose Mourinho, qui a tenu sa première conférence de presse au centre d'entraînement du club à Appiano Gentile (nord de Milan) mardi midi, a évoqué les grandes lignes de son action à venir.
S'exprimant dans un italien plus que correct, qui a ravi les journalistes, le Portugais a tour à tour évoqué sa manière de travailler, le recrutement à venir et ses objectifs.
Un nouveau cycle: "Un cycle vient à peine de se terminer avec un grand entraîneur. Maintenant, c'est un nouveau cycle qui doit commencer. Je respecte beaucoup le travail de Roberto Mancini (son prédécesseur, ndlr), mais je suis Jose Mourinho, et j'ai une méthode et une manière de travailler différente. J'ai toujours eu un rapport très fort avec les joueurs et je suis sûr qu'après quelques semaines, il en sera de même ici. Je suis sûr de bien travailler, et les résultats en seront la conséquence logique."
Le recrutement: "En lisant la presse ces derniers jours, j'ai eu l'impression que j'allais entraîner une équipe de 60 joueurs. J'ai lu que je voulais acheter tous les joueurs d'Europe, mais ce n'est pas vrai. J'en veux seulement 21, avec trois gardiens en plus. C'est un message que j'envoie à mes nouveaux joueurs: le groupe me plaît, j'aime sa mentalité, j'ai confiance en lui. Et il me tarde déjà de commencer à travailler avec eux. L'Inter est une belle équipe, il n'y a pas besoin de tout changer. On a besoin de 2 ou 3 joueurs, au maximum, pour s'améliorer, pour être un peu plus compétitifs. Si je veux des joueurs de Chelsea? Il faut voir si Chelsea est vendeur. Mais beaucoup d'entre eux voudraient encore jouer avec moi."
Les objectifs: "Je veux gagner toutes les compétitions. C'est ça mon défi. Je sais que c'est très difficile de tout gagner, peu d'équipes y parviennent dans le football moderne. Mais je crois avoir la méthode de travail idéale pour maintenir l'équipe au plus haut niveau durant toute la saison, notamment d'un point de vue psychologique."
La Ligue des Champions: "C'est le rêve de tous. Onze équipes tenteront de la gagner l'année prochaine: 3 italiennes, 4 anglaises, 1 allemande et 3 espagnoles. C'est une compétition où les détails comptent, ce sont eux qui font la différence. Au cours des quatre dernières années, j'ai gagné l'épreuve une fois (avec Porto en 2004, ndlr) et je suis allé deux fois en demi-finales. J'ai gagné en plus la Coupe de l'UEFA. Je crois que j'ai de bonnes dispositions pour les Coupes."
L'Italie: "J'ai toujours pensé que cela me plairait beaucoup d'entraîner en Italie, dans un grand club, dans un pays +footballistiquement+ fantastique. Aussi je remercie le président Massimo Moratti et (le directeur technique) Marco Branca de m'avoir donné cette opportunité. Le président m'a offert un splendide livre sur l'histoire de l'Inter. Mais, aujourd'hui, je veux commencer à en écrire un autre."

Aragones rejoindra apres l Euro Fenerbahce

Scolari à Chelsea