PSG

Erding au PSG, c'est fait
Annoncé depuis plusieurs jours avec insistance, le transfert de Mevlut Erding au Paris Saint-Germain est désormais officiel. Le club de la capitale annonce dimanche qu'il a trouvé "un accord de principe" avec Sochaux. L'attaquant international turc, 22 ans, est donc la première recrue du PSG depuis l'arrivée d'Antoine Kombouaré sur le banc.

Encore un nouveau président au PSG




C’est désormais la mode tous les six mois, le PSG a un nouveau
président. Cette fois-ci, la nomination était prévue de longue date, il
ne restait qu’à connaitre le nom de la nouvelle tête dirigeante du club
de la capitale. Il s’agit de Robin Leproux, passé par RTL, M6 avant de
devenir producteur associé. Conseiller du président jusqu’à présent,
Robin Leproux deviendra dans quelques semaines le président du comité
directoire du PSG, tandis que Sébastien Bazin, l’actuel président, sera
président du conseil de surveillance. Bazin avait fait savoir depuis sa
prise de fonction à la suite du départ de Charles Villeneuve qu’il ne
comptait pas diriger le PSG cette saison. Le représentant de
l’actionnaire principal du club s’est d’ailleurs montré ravi de cette
passation de pouvoir.

«Je suis très heureux que Robin Leproux ait accepté de rejoindre
le Club. Sa feuille de route est simple : faire du Paris Saint-Germain
l’un des tout premiers clubs au plan européen par ses performances
sportives, son rayonnement notamment à l’international et son rôle dans
la promotion du football français. Je sais qu’il mettra au service du
Club son ambition, sa connaissance du monde sportif et des médias et
son enthousiasme pour poursuivre le travail engagé depuis plusieurs
années », a expliqué Sébastien Bazin.

Vers un accord sur les primes

Alors que Robin Leproux Leproux, le futur président du PSG, a rencontré mercredi les trois représentants de l'effectif parisien (Makelele, Armand, Traoré), un accord aurait trouvé à cette occasion concernant le montant des primes pour la saison à venir. Comme le rapporte L'Equipe de ce vendredi, les bonus devraient s'élever à 3000 euros par joueur et par succès, et à 1000 euros pour un match nul.

Un supporter éborgné

Avant le match entre Montpellier et le Paris-SG samedi, des incidents se sont produits aux abords du stade et un supporter parisien a perdu l'usage de son oeil, rapporte le qutidien Midi-Libre. Dans la bagarre, l'homme aurait reçu un tesson de canette au visage. Il a été hospitalisé à Montpellier, mais ne semble plus se souvenir de ce qui lui est arrivé. Des ultras parisiens auraient faussé compagnie à leur escorte policière afin de prendre le tramway pour se rendre au stade de la Mosson. Ils voulaient en découdre avec les Montpelliérains, qui les attendaient de pied ferme et leur auraient tendus des guets-apens. La police a utilisé des gaz lacrymogènes pour disperser tous ces pseudo supporters et une enquête est en cours.

Kombouaré ne badine pas avec la discipline



Pour ramener le ParisSaint-Germain sur le devant de la scène, Antoine Kombouaré a décidé de se montrer très strict en matière de discipline. L'entraîneur du club de la capitale a ainsi mis 22 de ses joueurs à l'amende pour être arrivés en retard lors de la photo officielle.

Antoine Kombouaré est bien décidé à ramener le Paris Saint-Germain sur le devant de la scène pour sa première saison sur le banc de touche du club de la capitale. Pour arriver à ses fins, l'ancien technicien valenciennois met l'accent sur deux domaines capitaux : le jeu et la discipline. Kombouaré insiste beaucoup sur le premier point à l'entraînement. Et cela se ressent en match. Sur le terrain de l'AS Monaco il y a dix jours ou face à l'Olympique Lyonnais dimanche dernier, s'il n'a pris qu'un point, le club de la capitale a séduit. Avec cette qualité affichée, on se dit que le PSG a forcément de beaux jours devant lui.

Maxifoot

Hoarau aurait une entorse de la cheville, c'est pas possible

Kombouaré recadre ses joueurs



Le PSG reste sur cinq matches sans succès et, forcément, Antoine Kombouaré n'apprécie pas cette situation. Dans les colonnes du Parisien, l'entraîneur du club de la capitale a notamment pointé du doigt certains joueurs qui, selon lui, doivent apporter davantage. «J'attends
plus d'Armand, de Sessegnon et Ceara, je leur ai dit. Mais je ne suis
pas déçu parce qu'ils s'arrachent et ils ont de la qualité», a expliqué le technicien kanak.

«Devant, ils sont payés pour faire la différence»

Même s'il regrette les absences prolongées de Mevlut Erding et Guillaume
Hoarau, le coach parisien ne cherche pas d'excuses à Ludovic Giuly et
Peguy Luyindula, qui doivent «faire la différence» sur le front de l'attaque. «Hoarau et Erding nous manquent. Sans incriminer qui que ce soit, Ludo (Giuly) et Peguy (Luyindula) ne sont pas des buteurs. [...] Ce n'est pas un
problème de position, ils doivent faire plus devant. Ils sont payés pour faire la différence.»

France Football

Deux joueurs de PSG atteints de la grippe A/H1N1

Deux joueurs de Paris-saint- germain (PSG) a atteint la grippe A/H1N1, tandis que le match opposant l'équipe à l'Olympique de Marseille a été maintenu, a annoncé samedi le club parisien sur son site internet.

"Le PSG confirme que deux cas de grippe A ont bien été décelés au sein de l'effectif professionnel", indique PSG dans un communiqué sans préciser le nom des deux joueurs concernés, ajoutant que la Commission des compétitions a décidé de maintenir la rencontre de Ligue 1 opposant l'OM au PSG ce dimanche à 21h00.

Jusqu'à présent, aucun match de Ligue 1 n'a été reporté en raison de la grippe A cette saison, malgré des cas découvert à Monaco et à Montpellier.

La Ligue nationale de rugby avait décidé de reporter deux matches du Top 14 début septembre après l'annonce de plusieurs cas de grippe A parmi les joueurs de Castres.

Casafree.

NB. Il ne manquait plus que ça au PSG.........

Football: les
supporters du PSG font la loi au Parc, dit Graille


REUTERS | 18.03.2010 | 16:16


PARIS
(Reuters) - Francis Graille, président du Paris Saint-Germain de 2003 à
2005, estime que le Parc des Princes a été abandonné aux supporters et
exhorte l'Etat à s'impliquer davantage pour résoudre le problème de la
violence.La mort jeudi d'un supporter du PSG, roué de coups le 28
février en marge d'un match de son club contre Marseille, a relancé le
débat sur les violences dans le football.Dans un entretien à
Reuters Télévision enregistré mardi dernier, Francis Graille rappelle
que l'origine historique de la rivalité entre les tribunes "Boulogne" et
"Auteuil" est une initiative de Canal+, propriétaire du club entre 1991
et 2006."La tribune Boulogne était raciste et se disait une
tribune blanche. Les dirigeants de l'époque se sont dit qu'il fallait
créer un tribune multicolore, c'est de là qu'est née Auteuil",
raconte-t-il."Ils ont créé un association de supporters, les
Supras d'Auteuil qui étaient censés donner une autre image, pour montrer
que Paris ce n'était pas que les 'skins' de Boulogne", ajoute-t-il.Conséquence
inattendue, cette initiative de Canal+ a débouché sur des affrontements
entre fans des deux tribunes, à partir de 2002-2003.Francis
Graille pense que l'origine en est la célébration provocatrice du
dixième anniversaire des "Supras" mais, pour lui, le problème est
ailleurs."Petit à petit, on a abandonné le stade aux supporters,
ils se sont accaparés une partie du spectacle", explique-t-il."On
pense que le phénomène est conjoncturel, qu'on peut l'éradiquer comme
cela, on compte sur les présidents de clubs. Mais si l'Etat ne prend pas
le problème à sa charge, c'est pas en interdisant 300 personnes de
stade qu'on va arriver à éradiquer le phénomène", estime-t-il.SANCTIONS
PAS UTILISÉESLa police n'a plus accès au stade depuis des
incidents survenus entre supporters et policiers dans une tribune et
c'est donc au PSG qu'incombe aujourd'hui le maintien de l'ordre dans
l'enceinte du Parc des Princes.Francis Graille pense qu'il faut
revenir sur ce point : "Je ne suis pas à tout prix pour que la police
revienne dans les stades, mais s'il le faut, il faut qu'elle soit là"."Il
faut aussi qu'on ait d'énormes moyens d'investigation, il faut que les
gens soient repérés et interdits de stade définitivement et pas pour des
périodes de trois mois", ajoute l'ancien président.Selon lui,
les sanctions ne sont pas assez utilisées. "On n'a pas besoin de
multiplier les lois, il faut les faire appliquer, je crois qu'elles ne
sont pas appliquées".Francis Graille se prononce également pour
le système de la carte d'identité de supporter, qu'il avait vainement
proposé."Il me semblait que si j'étais responsable, je devais
savoir de qui. On m'avait parlé de procédés fascisants, on m'accusait de
vouloir fliquer les gens. Aujourd'hui on y revient et on a perdu cinq
ans", déplore-t-il."Quand vous êtes au milieu d'une foule vous
pouvez faire n'importe quoi, quand on sait qui vous êtes, vous ne pouvez
plus vous permettre d'avoir des agissements contraires à la loi",
estime-t-il.Laurent Hamida avec Thierry Lévêque, édité par Yves
Clarisse.