AS FAR 1 - 1 ESS [Apres match]

Cox a écrit:

Dans le match de choc entre les deux leaders africains as far ( maroc) ess (tunisie) qui s’est tournée au complexe my abdellah les hommes de benzarti ont pu s’en sortir avec les moins des dégâts avec un score positive
Le match a connu une grande ambiance celle qui se trouve dans les gradins La première mi-temps a connu la réalisation du premier but tunisien marqué par le brésilien nilson à cause d’une faute défensive La deuxième mi-temps a connu plusieurs changements dans les deux équipes et l’expulsion du joueur numero 6 dans l’etoile tunisien L’entré du jeune el bahri a pu donné un nouvel air pour les militaires et tout cela en marquant le but de l’égalisation après une passe décisif de lui-même Le score final 1-1 Le match retour se jouera à soussa le 2 décembre
http://www.neosport.net/content/view/4142/52/

c'est Gilson et il ets du Cap Verde, il est chez nous depuis qu'il a 16 ans, il est natif de l'année 1987

Le resultat d'hier est certes à notre faveur mais le plus important reste à faire à Sousse.
Bonne chance à nous les etoilistes et chers maroccains sachez que vous etes les bienvenus en Tunisie.

fair_play_only a écrit:

agalmam a écrit:

moi je suis decu et je voi pa comment on va gagner le match retour.on a dominé c est vrai mais on a pa gagner le but qu ona encaissé en premiere mi temps c 'est a cause de la défense c est grave quand meme

khouya
ca reste encore du 50-50 comme avant le match aller
la ou on a péché c dans l'exces de dribles inutiles et dans les longues passes sur lesquelles la defense esperantiste s'est régalé
je me demande a quoi sert ce mercenaire de stambouli...sans entraineur on aurait realiser le meme match voire mieux

Ahla bikom
Khouya fair_play_only, tu es sure que tu as regardé le match
En face de vous c'était pas cette équipe elli ma'tetsammech
Mais bon je comprends... ça ne peux être qu'un' faute de frappe



Ziko
Etoiliste de la Capitale

ziko a écrit:

fair_play_only a écrit:

agalmam a écrit:

moi je suis decu et je voi pa comment on va gagner le match retour.on a dominé c est vrai mais on a pa gagner le but qu ona encaissé en premiere mi temps c 'est a cause de la défense c est grave quand meme

khouya
ca reste encore du 50-50 comme avant le match aller
la ou on a péché c dans l'exces de dribles inutiles et dans les longues passes sur lesquelles la defense esperantiste s'est régalé
je me demande a quoi sert ce mercenaire de stambouli...sans entraineur on aurait realiser le meme match voire mieux

Ahla bikom
Khouya fair_play_only, tu es sure que tu as regardé le match
En face de vous c'était pas cette équipe elli ma'tetsammech
Mais bon je comprends... ça ne peux être qu'un' faute de frappe



Ziko
Etoiliste de la Capitale

L'esperance elle a pris 3 buts à domicile contre l'etoile

petitprince a écrit:

qui sait pourquoi manga fut expulsé ?

il a été expulsé suite a des propos verbaux (soit envers un adversaire soit envers l'arbitre). ce qui lui a value un deuxieme carton jaune donc

Cox a écrit:

Coupe de la CAF
Après la finale aller à Rabat (1-1)
L'Etoile peut voir venir
Après le nul enregistré samedi dernier à Rabat face aux Forces Armée Royales du Maroc, l'Etoile du Sahel a toutes les cartes en règle malgré toutes les difficultés tactiques, rencontrées, notamment en deuxième mi-temps.



Pourtant, le représentant du football tunisien a bien entamé la rencontre et a su maîtriser parfaitement le jeu, obligeant l'adversaire à se cantonner dans sa zone sans trouver les solutions adéquates pour répliquer aux assauts sahéliens.
La première période de jeu fut ainsi marquée par une nette domination étoilée, grâce à la bonne organisation tactique.
Les Rouges ont acculé les locaux dans leurs derniers retranchements malgré le soutien d'un public venu en grand nombre les soutenir et les encourager.
Au cours de cette première période, les Marocains n'ont pas trouvé leurs repères devant une Etoile fort entreprenante et athlétique, ce qui contraria tous les plans de l'entraîneur Henri Stambouli, surpris par la mauvaise prestation des siens qui, durant toute cette partie du match, n'ont pas su déclencher des raids qui pouvaient sérieusement inquiéter l'arrière-garde étoilée.
Les Ribatis ont opté pour les contres mais ni Ouaddouch, ni Ajeddou n'ont réussi une incursion ou une pénétration. Presque toutes leurs tentatives offensives étaient vouées à l'échec loin des seize mètres adverses.
Les Rouges étaient, en revanche, plus réalistes dans leur gestion offensive avec des passes courtes et précises et des attaques efficaces qui n'ont pas laissé le temps à l'adversaire de se réorganiser.
Le marquage d'Emeka n'a pas influé sur le rendement collectif de la bande à Faouzi Benzarti, car Chikhaoui, qui se trouvait parfois libre de tout marquage a joué un rôle majeur pour animer la ligne d'attaque par des passes précises et de belles ouvertures dont celle exploitée par Gilson qui trompa le gardien Jarmouni à la 34ème minute. Un but qui récompensait les bonnes dispositions des Sahéliens en vue de la conquête du titre africain.
De leur côté, les Marocains, touchés dans leur amour propre en concédant de manière surprenante ce but d'avance, ont tenté de riposter avant la pause afin de remettre les pendules à l'heure. Mais ils se trouvèrent incapables de réagir devant un adversaire très redoutable.

Un fléchissement notoire
En deuxième mi-temps , on a cru que les Sahéliens allaient profiter de cet avantage moral pour harceler leurs vis-à-vis.
Mais ce fut le contraire qui se passa , les Marocains prirent les choses en main en maîtrisant le milieu. Ouddouch et Ajeddou ont beaucoup travaillé on obligeant les visiteurs à commettre des fautes près de la cage de Aymen Mathlouthi. Mais toutes ces balles ont été mal exploitées, à l'exception de celle de la 70' lorsque le tir de Ajeddou heurta le poteau droit du keeper étoilé. Même le but de l'égalisation a été marqué par Saber Ben Fredj contre son camp à l'issue d'un centre en profondeur effectué par Bahri qui a remplacé Chihab Atik à la 70'.
Par la suite, malgré l'expulsion de Majdi Ben Mohamed à la 74', les Sahéliens réagissaient positivement et deux minutes avant la fin du temps réglementaire, une nette occasion de doubler le score se présenta à l'international Yassine Chikhaoui qui, mal concentré, rata le coche. Ce fut vraiment le K.O qui s'offrit à notre représentant.
En tous les cas, l'Etoile a eu le mérite d'ouvrir le score dans le fief de l'adversaire même.
Elle peut voir venir, même si elle doit se méfier de la mésaventure du CSS.

Arbitrage hésitant
Ce qu'il faut signaler à l'issue de cette première manche de la finale de la Coupe de la CAF, c'est que l'arbitre Ahmed Aouda ne fut pas à la hauteur de sa tâche. Il était hésitant tout au long de la rencontre, car il n'a pas été bien assisté par ses deux compatriotes qui lui ont pas facilité la tâche. Ses appréciations ont plutôt favorisé l'équipe locale, surtout dans la zone de l'Etoile. L'expulsion de Majdi Ben Mohamed a été trop sévère, précipitant l'égalisation marocaine.

Brahim AOUICHAOUI

Curiosités
•A plusieurs reprises , les accompagnateurs de l'Etoile ont quitté le banc des remplaçants pour contester l'arbitrage d'Ahmed Ouda.
•Majdi Ben Mohamed , expulsé à la 74', n'a pas pu retenir ses larmes en se dirigeant vers les vestiaires pour deux raisons logiques. La première est qu'il est innocent et la deuxième parce qu'il va être privé de participer à la deuxième rencontre.
•Nefkha, qui a écopé de son premier carton jaune, pourra disputer la deuxième manche parce que l'autre avertissement à son compte a été pris lors du tournoi des poules et ne compte plus en finale.
•Les déclarations d'après-match ont été données dans le hall , quoique le comité d'organisation ait préparé une salle de conférences. Seul Faouzi Benzarti a respecté les règlements de la FIFA à ce sujet. D'ailleurs, Henri Stambouli était venu féliciter son collègue Benzarti pour le résultat enregistré sans passer par la salle des conférences.
•Le public marocain a quitté le stade très déçu pour le nul, tout en se rappelant la suprématie de l'Etoile, chaque fois qu'elle rencontre une équipe marocaine.

Présence tactique et physique…
L’Etoile a joué comme il fallait… pendant quarante-cinq minutes seulement
Une mi-temps de chaque côté, sommes-nous tentés de dire, après la parité de l’Etoile à Rabat face aux FAR. Une parité qui aurait pu se transformer en victoire si,
d’une part, l’ESS n’avait pas laissé l’initiative à son adversaire et si, d’autre part, les attaquants avaient fait preuve de plus de métier par moments. Un nul donc qui, somme toute, fait l’affaire de l’Etoile sans que cela soit interprété comme une victoire, l’exemple du CSS est encore très vivace pour retomber si rapidement dans ce travers.
Globalement, la prestation de l’Etoile a connu deux périodes distinctes. Une première de qualité avec une présence à la fois tactique et physique de joueurs qui en voulaient franchement plus que leurs vis-à-vis. Nous avons ainsi pu apprécier le dispositif Benzarti dans toute son efficacité : pressing haut, une ligne avant montant toujours sur les relanceurs, un entrejeu qui la suivait parfaitement dans sa montée, des flancs, hormis les premières minutes à droite, avec des cales bien positionnées et surtout une idée fixe d’aller défier les FAR dans leur camp. Nous eûmes alors droit à une Etoile d’attaque qui jouait presque à domicile et des FAR qui, pressées de toutes parts, s’en remirent aux longues transversales vers un Loutfi très remuant et qui a causé quelques dégâts avant que Benzarti ne remonte les bretelles à Ben Fraj. Résultat des courses : une Etoile qui jouait un football alerte, étagé et agréable. De l’autre côté, des FAR qui, dans leur incapacité à déverrouiller l’entrejeu, procédaient en sautant le milieu de terrain au grand bonheur des longilignes défenseurs de l’Etoile qui cueillaient, comme à la parade, les longues et imprécises balles. Une première mi-temps de premier plan pour le dispositif Benzarti et le très élégant Yassine Chikhaoui qui a fait parler sa classe et sa vision du jeu sur une action aussi limpide que rapide qui a emmené le seul but de la première période. Un geste technique, une récupération, une passe en profondeur et à Gelson de goûter au caviar. Propre, net et sans bavures.

L’Etoile recule et perd son allant

Malheureusement, au retour des vestiaires, tout change après quelques minutes et après notamment l’expulsion de Ben Mohamed. Stambouli, du côté des FAR, jouait alors son va-tout et incorpora un joueur sur le flanc après avoir recadré le jeu de son équipe qui ne pouvait plus se suffire de transversales vers Loutfi ou Ouadouch, tous les deux mis sous l’éteignoir par une défense plus alerte et qui jouait à fond la carte de la couverture. A partir de cet instant, l’Etoile perdit de son scintillement et, petit à petit, sombra dans une sorte de bataille de tranchées afin de garder l’avantage et assurer la rencontre retour.
Tactiquement, on était en droit de nous attendre à une équipe qui allait profiter des espaces concédés par la précipitation des locaux et leur course contre la montre. Peine perdue, ce sont les Marocains qui allaient terminer la rencontre dans le camp d’une Etoile qui a fini par voir toutes ses lignes s’imbriquer les unes dans les autres.
Une première période donc très bien pensée et exécutée sur le plan tactique et de l’intelligence dans le jeu. Une seconde période moins pimpante et qui a, encore une fois, fait découvrir cette incapacité qu’a l’Etoile d’évoluer dans l’esprit du jeu à un niveau homogène. Dommage, car à Rabat il y avait la place pour assommer les espoirs des FAR qui viendront à Sousse en pensant à un piège technique. Un homme averti en vaut deux.


«Leur manière de jouer nous a beaucoup aidés»
Faouzi Benzarti rend un hommage particulier à ses joueurs pour leur courage et reconnaît que l’équipe marocaine a manqué d’imagination
De notre envoyé spécial à Rabat Raouf BEN ALI
La sortie de Mejdi Ben Mohamed, à vingt minutes de la fin, a été le véritable tournant de la rencontre.
Jusque-là, en effet, les Etoilés avaient joué d’égal à égal avec leurs adversaires qui sont restés attentifs en défense de peur des contres rapides d’Opara, de Chikhaoui et de Gilson, se contentant de balancer de longues balles aériennes, facilement annihilées par Seïf Ghezal et ses camarades.
Devant une équipe réduite à dix et qui a dû reculer d’un cran pour préserver son mince acquis, les Marocains, soutenus par un public remarquable, se sont déchaînés.
Et s’ils ont réussi une égalisation somme toute heureuse, le ballon boxé par Mathlouthi, heurtant un défenseur pour finir sa course dans les filets, les joueurs des FAR, qui avaient alors de larges espaces, ont imposé un pressing terrible sur la défense sahélienne.
Comme le reconnaît d’ailleurs l’entraîneur de l’équipe marocaine, Stambouli : «Cette supériorité numérique et l’apport extraordinaire des supporters nous ont fait revenir dans le match».
De son côté, Seïf Ghezal, qui a réussi une très belle prestation, avoue : «L’exclusion de Ben Mohamed nous a complètement désorientés et nous a obligés à un surcroît d’efforts pour colmater les brèches».
Pour Faouzi Benzarti, qui a tenu à rendre un hommage particulier à l’abnégation et à l’héroïsme de ses joueurs en fin de partie, «la manière de jouer des Marocains nous a beaucoup aidés pour préserver le match nul, du fait qu’ils n’ont fait que balancer de longues balles aériennes que mes joueurs parvenaient sans trop de mal à renvoyer».
Il faudrait seulement remarquer que, malgré toute sa détermination, Saber Ben Frej a joué un cran au-dessous de ses camarades, ce qui a incité les Marocains à mener la plupart de leurs débordements sur la partie gauche.
Mais malgré tous ces facteurs, nous nous devons de relever la parfaite discipline tactique des Etoilés qui leur a permis de tenir jusqu’au bout, aidés en cela, il faut le reconnaître, par l’excellente prestation de Mathlouthi qui a effacé au moins trois buts certains.

«Obligés de se découvrir…»

Il reste qu’il ne faudrait pas croire que le plus difficile a été réalisé car, au match retour, les Marocains ne viendront certainement pas en victimes expiatoires.
Jarmouni, leur gardien de but, paraissait d’ailleurs confiant : «A Rabat, les Etoilés ont joué un excellent match défensif. Mais à Sousse, ils vont être obligés de se découvrir, ce qui nous permettra de jouer notre véritable football».
Mais Faouzi Benzarti, qui est loin d’être un débutant, ne demandera certainement pas à ses joueurs d’attaquer aveuglément sans songer à assurer une bonne couverture défensive.
C’est à lui qu’il appartient maintenant de trouver la meilleure façon de gérer ce match retour, qui s’annonce très ouvert et très chaud, pour que la coupe de la CAF élise domicile au Boujaâfar.
R.B.A.

je me demande si l'auteur de cet article a vu le match
analyse completement fausse et erronee de la rencontre
heureusement que le ridicule ne tue pas

fair_play_only a écrit:

petitprince a écrit:

qui sait pourquoi manga fut expulsé ?

il a été expulsé suite a des propos verbaux (soit envers un adversaire soit envers l'arbitre). ce qui lui a value un deuxieme carton jaune donc

alors là ! complétement à côté de la plaque

fair_play_only a écrit:

Cox a écrit:

Coupe de la CAF
Après la finale aller à Rabat (1-1)
L'Etoile peut voir venir
Après le nul enregistré samedi dernier à Rabat face aux Forces Armée Royales du Maroc, l'Etoile du Sahel a toutes les cartes en règle malgré toutes les difficultés tactiques, rencontrées, notamment en deuxième mi-temps.



Pourtant, le représentant du football tunisien a bien entamé la rencontre et a su maîtriser parfaitement le jeu, obligeant l'adversaire à se cantonner dans sa zone sans trouver les solutions adéquates pour répliquer aux assauts sahéliens.
La première période de jeu fut ainsi marquée par une nette domination étoilée, grâce à la bonne organisation tactique.
Les Rouges ont acculé les locaux dans leurs derniers retranchements malgré le soutien d'un public venu en grand nombre les soutenir et les encourager.
Au cours de cette première période, les Marocains n'ont pas trouvé leurs repères devant une Etoile fort entreprenante et athlétique, ce qui contraria tous les plans de l'entraîneur Henri Stambouli, surpris par la mauvaise prestation des siens qui, durant toute cette partie du match, n'ont pas su déclencher des raids qui pouvaient sérieusement inquiéter l'arrière-garde étoilée.
Les Ribatis ont opté pour les contres mais ni Ouaddouch, ni Ajeddou n'ont réussi une incursion ou une pénétration. Presque toutes leurs tentatives offensives étaient vouées à l'échec loin des seize mètres adverses.
Les Rouges étaient, en revanche, plus réalistes dans leur gestion offensive avec des passes courtes et précises et des attaques efficaces qui n'ont pas laissé le temps à l'adversaire de se réorganiser.
Le marquage d'Emeka n'a pas influé sur le rendement collectif de la bande à Faouzi Benzarti, car Chikhaoui, qui se trouvait parfois libre de tout marquage a joué un rôle majeur pour animer la ligne d'attaque par des passes précises et de belles ouvertures dont celle exploitée par Gilson qui trompa le gardien Jarmouni à la 34ème minute. Un but qui récompensait les bonnes dispositions des Sahéliens en vue de la conquête du titre africain.
De leur côté, les Marocains, touchés dans leur amour propre en concédant de manière surprenante ce but d'avance, ont tenté de riposter avant la pause afin de remettre les pendules à l'heure. Mais ils se trouvèrent incapables de réagir devant un adversaire très redoutable.

Un fléchissement notoire
En deuxième mi-temps , on a cru que les Sahéliens allaient profiter de cet avantage moral pour harceler leurs vis-à-vis.
Mais ce fut le contraire qui se passa , les Marocains prirent les choses en main en maîtrisant le milieu. Ouddouch et Ajeddou ont beaucoup travaillé on obligeant les visiteurs à commettre des fautes près de la cage de Aymen Mathlouthi. Mais toutes ces balles ont été mal exploitées, à l'exception de celle de la 70' lorsque le tir de Ajeddou heurta le poteau droit du keeper étoilé. Même le but de l'égalisation a été marqué par Saber Ben Fredj contre son camp à l'issue d'un centre en profondeur effectué par Bahri qui a remplacé Chihab Atik à la 70'.
Par la suite, malgré l'expulsion de Majdi Ben Mohamed à la 74', les Sahéliens réagissaient positivement et deux minutes avant la fin du temps réglementaire, une nette occasion de doubler le score se présenta à l'international Yassine Chikhaoui qui, mal concentré, rata le coche. Ce fut vraiment le K.O qui s'offrit à notre représentant.
En tous les cas, l'Etoile a eu le mérite d'ouvrir le score dans le fief de l'adversaire même.
Elle peut voir venir, même si elle doit se méfier de la mésaventure du CSS.

Arbitrage hésitant
Ce qu'il faut signaler à l'issue de cette première manche de la finale de la Coupe de la CAF, c'est que l'arbitre Ahmed Aouda ne fut pas à la hauteur de sa tâche. Il était hésitant tout au long de la rencontre, car il n'a pas été bien assisté par ses deux compatriotes qui lui ont pas facilité la tâche. Ses appréciations ont plutôt favorisé l'équipe locale, surtout dans la zone de l'Etoile. L'expulsion de Majdi Ben Mohamed a été trop sévère, précipitant l'égalisation marocaine.

Brahim AOUICHAOUI

Curiosités
•A plusieurs reprises , les accompagnateurs de l'Etoile ont quitté le banc des remplaçants pour contester l'arbitrage d'Ahmed Ouda.
•Majdi Ben Mohamed , expulsé à la 74', n'a pas pu retenir ses larmes en se dirigeant vers les vestiaires pour deux raisons logiques. La première est qu'il est innocent et la deuxième parce qu'il va être privé de participer à la deuxième rencontre.
•Nefkha, qui a écopé de son premier carton jaune, pourra disputer la deuxième manche parce que l'autre avertissement à son compte a été pris lors du tournoi des poules et ne compte plus en finale.
•Les déclarations d'après-match ont été données dans le hall , quoique le comité d'organisation ait préparé une salle de conférences. Seul Faouzi Benzarti a respecté les règlements de la FIFA à ce sujet. D'ailleurs, Henri Stambouli était venu féliciter son collègue Benzarti pour le résultat enregistré sans passer par la salle des conférences.
•Le public marocain a quitté le stade très déçu pour le nul, tout en se rappelant la suprématie de l'Etoile, chaque fois qu'elle rencontre une équipe marocaine.

Présence tactique et physique…
L’Etoile a joué comme il fallait… pendant quarante-cinq minutes seulement
Une mi-temps de chaque côté, sommes-nous tentés de dire, après la parité de l’Etoile à Rabat face aux FAR. Une parité qui aurait pu se transformer en victoire si,
d’une part, l’ESS n’avait pas laissé l’initiative à son adversaire et si, d’autre part, les attaquants avaient fait preuve de plus de métier par moments. Un nul donc qui, somme toute, fait l’affaire de l’Etoile sans que cela soit interprété comme une victoire, l’exemple du CSS est encore très vivace pour retomber si rapidement dans ce travers.
Globalement, la prestation de l’Etoile a connu deux périodes distinctes. Une première de qualité avec une présence à la fois tactique et physique de joueurs qui en voulaient franchement plus que leurs vis-à-vis. Nous avons ainsi pu apprécier le dispositif Benzarti dans toute son efficacité : pressing haut, une ligne avant montant toujours sur les relanceurs, un entrejeu qui la suivait parfaitement dans sa montée, des flancs, hormis les premières minutes à droite, avec des cales bien positionnées et surtout une idée fixe d’aller défier les FAR dans leur camp. Nous eûmes alors droit à une Etoile d’attaque qui jouait presque à domicile et des FAR qui, pressées de toutes parts, s’en remirent aux longues transversales vers un Loutfi très remuant et qui a causé quelques dégâts avant que Benzarti ne remonte les bretelles à Ben Fraj. Résultat des courses : une Etoile qui jouait un football alerte, étagé et agréable. De l’autre côté, des FAR qui, dans leur incapacité à déverrouiller l’entrejeu, procédaient en sautant le milieu de terrain au grand bonheur des longilignes défenseurs de l’Etoile qui cueillaient, comme à la parade, les longues et imprécises balles. Une première mi-temps de premier plan pour le dispositif Benzarti et le très élégant Yassine Chikhaoui qui a fait parler sa classe et sa vision du jeu sur une action aussi limpide que rapide qui a emmené le seul but de la première période. Un geste technique, une récupération, une passe en profondeur et à Gelson de goûter au caviar. Propre, net et sans bavures.

L’Etoile recule et perd son allant

Malheureusement, au retour des vestiaires, tout change après quelques minutes et après notamment l’expulsion de Ben Mohamed. Stambouli, du côté des FAR, jouait alors son va-tout et incorpora un joueur sur le flanc après avoir recadré le jeu de son équipe qui ne pouvait plus se suffire de transversales vers Loutfi ou Ouadouch, tous les deux mis sous l’éteignoir par une défense plus alerte et qui jouait à fond la carte de la couverture. A partir de cet instant, l’Etoile perdit de son scintillement et, petit à petit, sombra dans une sorte de bataille de tranchées afin de garder l’avantage et assurer la rencontre retour.
Tactiquement, on était en droit de nous attendre à une équipe qui allait profiter des espaces concédés par la précipitation des locaux et leur course contre la montre. Peine perdue, ce sont les Marocains qui allaient terminer la rencontre dans le camp d’une Etoile qui a fini par voir toutes ses lignes s’imbriquer les unes dans les autres.
Une première période donc très bien pensée et exécutée sur le plan tactique et de l’intelligence dans le jeu. Une seconde période moins pimpante et qui a, encore une fois, fait découvrir cette incapacité qu’a l’Etoile d’évoluer dans l’esprit du jeu à un niveau homogène. Dommage, car à Rabat il y avait la place pour assommer les espoirs des FAR qui viendront à Sousse en pensant à un piège technique. Un homme averti en vaut deux.


«Leur manière de jouer nous a beaucoup aidés»
Faouzi Benzarti rend un hommage particulier à ses joueurs pour leur courage et reconnaît que l’équipe marocaine a manqué d’imagination
De notre envoyé spécial à Rabat Raouf BEN ALI
La sortie de Mejdi Ben Mohamed, à vingt minutes de la fin, a été le véritable tournant de la rencontre.
Jusque-là, en effet, les Etoilés avaient joué d’égal à égal avec leurs adversaires qui sont restés attentifs en défense de peur des contres rapides d’Opara, de Chikhaoui et de Gilson, se contentant de balancer de longues balles aériennes, facilement annihilées par Seïf Ghezal et ses camarades.
Devant une équipe réduite à dix et qui a dû reculer d’un cran pour préserver son mince acquis, les Marocains, soutenus par un public remarquable, se sont déchaînés.
Et s’ils ont réussi une égalisation somme toute heureuse, le ballon boxé par Mathlouthi, heurtant un défenseur pour finir sa course dans les filets, les joueurs des FAR, qui avaient alors de larges espaces, ont imposé un pressing terrible sur la défense sahélienne.
Comme le reconnaît d’ailleurs l’entraîneur de l’équipe marocaine, Stambouli : «Cette supériorité numérique et l’apport extraordinaire des supporters nous ont fait revenir dans le match».
De son côté, Seïf Ghezal, qui a réussi une très belle prestation, avoue : «L’exclusion de Ben Mohamed nous a complètement désorientés et nous a obligés à un surcroît d’efforts pour colmater les brèches».
Pour Faouzi Benzarti, qui a tenu à rendre un hommage particulier à l’abnégation et à l’héroïsme de ses joueurs en fin de partie, «la manière de jouer des Marocains nous a beaucoup aidés pour préserver le match nul, du fait qu’ils n’ont fait que balancer de longues balles aériennes que mes joueurs parvenaient sans trop de mal à renvoyer».
Il faudrait seulement remarquer que, malgré toute sa détermination, Saber Ben Frej a joué un cran au-dessous de ses camarades, ce qui a incité les Marocains à mener la plupart de leurs débordements sur la partie gauche.
Mais malgré tous ces facteurs, nous nous devons de relever la parfaite discipline tactique des Etoilés qui leur a permis de tenir jusqu’au bout, aidés en cela, il faut le reconnaître, par l’excellente prestation de Mathlouthi qui a effacé au moins trois buts certains.

«Obligés de se découvrir…»

Il reste qu’il ne faudrait pas croire que le plus difficile a été réalisé car, au match retour, les Marocains ne viendront certainement pas en victimes expiatoires.
Jarmouni, leur gardien de but, paraissait d’ailleurs confiant : «A Rabat, les Etoilés ont joué un excellent match défensif. Mais à Sousse, ils vont être obligés de se découvrir, ce qui nous permettra de jouer notre véritable football».
Mais Faouzi Benzarti, qui est loin d’être un débutant, ne demandera certainement pas à ses joueurs d’attaquer aveuglément sans songer à assurer une bonne couverture défensive.
C’est à lui qu’il appartient maintenant de trouver la meilleure façon de gérer ce match retour, qui s’annonce très ouvert et très chaud, pour que la coupe de la CAF élise domicile au Boujaâfar.
R.B.A.

je me demande si l'auteur de cet article a vu le match
analyse completement fausse et erronee de la rencontre
heureusement que le ridicule ne tue pas

ah bon ?

donne nous une "bonne" analyse !

getch a écrit:

Si les far jouent les passe courtes, la domination du milieu de terrain, et les contres-attaques , on purra gagner inchallah.
Je ne croix pas que c'est un mauvai resultat contre une équipe 100% defensive.
je croix qu'il faut travailler le mentale des jouers et les aider à mieux se concentrer dans les moment difficiles et ne pas être indulgeant envers ceux qui ne jouent pas fair-plays.
à part l'histoire de cette équipe des FAR, l.une des choses qui la caractérisait sur les autre équipe, c'etait la dicipline de ses joueurs qui ne jouaient pas la comédie.
Il faut revenir aux sources des fondement de cette équipe et batir un vrai esprit sportif qui ne suit pas juste les tendances des autres équipe tant que pour les joueurs que pour les supporters.

Salam

Je vous rappelle que l'etoile n'a jamais perdu un match de coupe d'afrique a Sousse, ceci dit l'etoile ne jouera certainement pas de la meme facon qu'a rabat vu la difference des cinconstances
vous me direz pression? Je vous dit que l'etoile a vraiment de l'experience pour ce genre de confrontations (9 finales africaines consecutives en 11 ans).

Je ne dis pas ceci par exces de confiance mais par objectivite, aussi il ne faut pas prendre le cas du CSS comme exemple parce qu'a vous lire on croirait que cela arrive aux equipes Tunisiennes tous les ans. Ceci sans parler de l'ascendant psychologique sur les equipes marocaines.

Contrairement a ce que vous le dites plus haut, l'etoile n'a pas joue la defense mais la prudence. Nous vous avons domine durant une bonne partie de la premiere mi-temps avec un bon pressing de 15 a 20 minutes et plein de corners de coup francs dans votre camp, 2 occasions franches dont un but et 2 tentatives de nafkha.

Fair-play oblige: Que le meilleur gagne