Rachid TAOUSSI Entraîneur de l'AS FAR

Confiance renouvelée à Taoussi

Si le contrat de Rachid Taoussi n’a pas encore été prolongé, il est néanmoins assuré de continuer l’aventure à la tête des Lions de l’Atlas. Le bureau fédéral n’envisage pas de se séparer de l’ex-entraîneur du MAS même si les Lions de l’Atlas ont été éliminés dès le premier tour de la Coupe d’Afrique des nations.

Pas question de se séparer de Rachid Taoussi. «L’hypothèse de remercier Rachid Taoussi n’a jamais été à l’ordre du jour étant donné que cette option risquerait de saper le bon travail effectué jusqu’à présent par le sélectionneur en dépit de l’élimination au premier tour de la CAF.

On a vu une équipe qui s’est améliorée de rencontre en rencontre. Maintenant, il faut capitaliser sur les acquis de cette coupe d’Afrique», nous a indiqué une source digne de foi au sein de la FRMF.
Le sélectionneur national pourra donc continuer sereinement le travail qu’il a commencé à la tête des Lions de l’Atlas avec pour objectif de qualifier l’équipe nationale en Coupe du monde 2014 au Brésil.

Arrivé à la tête de la sélection il y a quatre mois, Taoussi avait réussi à qualifier le Maroc en Coupe d’Afrique des nations après le large succès des Lions de l’Atlas en octobre dernier sur le Mozambique (4-0). Mais, il a échoué à aller au-delà du premier tour après trois matchs nuls respectivement contre l’Angola (0-0), le Cap Vert (1-1) et l’Afrique du Sud (2-2). L’équipe nationale reprendra les compétitions officielles en mars prochain contre la Tanzanie dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde.

Après deux journées, le Maroc est troisième de son groupe avec deux points derrière la Côte d’Ivoire (4 points) et la Tanzanie (3 points). Selon nos informations, les Lions de l’Atlas devront disputer un match amical pour préparer le déplacement à Dar Essalam.

Le Matin

fanfar a écrit:

Confiance renouvelée à Taoussi

Si le contrat de Rachid Taoussi n’a pas encore été prolongé, il est néanmoins assuré de continuer l’aventure à la tête des Lions de l’Atlas. Le bureau fédéral n’envisage pas de se séparer de l’ex-entraîneur du MAS même si les Lions de l’Atlas ont été éliminés dès le premier tour de la Coupe d’Afrique des nations.

Pas question de se séparer de Rachid Taoussi. «L’hypothèse de remercier Rachid Taoussi n’a jamais été à l’ordre du jour étant donné que cette option risquerait de saper le bon travail effectué jusqu’à présent par le sélectionneur en dépit de l’élimination au premier tour de la CAF.

On a vu une équipe qui s’est améliorée de rencontre en rencontre. Maintenant, il faut capitaliser sur les acquis de cette coupe d’Afrique», nous a indiqué une source digne de foi au sein de la FRMF.
Le sélectionneur national pourra donc continuer sereinement le travail qu’il a commencé à la tête des Lions de l’Atlas avec pour objectif de qualifier l’équipe nationale en Coupe du monde 2014 au Brésil.

Arrivé à la tête de la sélection il y a quatre mois, Taoussi avait réussi à qualifier le Maroc en Coupe d’Afrique des nations après le large succès des Lions de l’Atlas en octobre dernier sur le Mozambique (4-0). Mais, il a échoué à aller au-delà du premier tour après trois matchs nuls respectivement contre l’Angola (0-0), le Cap Vert (1-1) et l’Afrique du Sud (2-2). L’équipe nationale reprendra les compétitions officielles en mars prochain contre la Tanzanie dans le cadre des éliminatoires de la Coupe du monde.

Après deux journées, le Maroc est troisième de son groupe avec deux points derrière la Côte d’Ivoire (4 points) et la Tanzanie (3 points). Selon nos informations, les Lions de l’Atlas devront disputer un match amical pour préparer le déplacement à Dar Essalam.

Le Matin

Dans l'interet de l'EN, Taoussi doit partir. J'espere qu'il prendra ses responsabilites demain et demissionnera

Il n y a personne qui pourrait le remplacer à part Zaki mais celui-ci a de gros problèmes avec la
Fédération

Taoussi, l'histoire d'un échec

Eliminés pour la 4ème fois consécutive du premier tour de la CAN, les Lions de l'Atlas confirment, à notre grand regret, qu'ils sont bel et bien loin, très loin de faire parti du gotha africain. Dans le jeu, dans l'attitude et dans les résultats rien n'est positif et il ne faut être ni statisticien, ni académicien, ni "comprendre l'anglais" pour le constater. Estimer que le parcours du Maroc en Afrique du Sud était positif, serait nous tirer une première balle dans le genou et gifler notre avenir.
Pourtant, comme ceci est le cas partout dans la nature, à force d'essayer on fini bien par trouver. D'ailleurs, malgré cet échec retentissant, nous commençons déjà à évoluer et pour cause; malgré le visage pathétique que l'équipe nationale a présenté face au Cap Vert, malgré que les Lions de l'Atlas ont été les seuls dans le groupe A à ne pas avoir vaincu l'Angola et malgré la déception sans mot du public, tout le Monde ou presque s'accorde à dire que Rachid Taoussi doit rester à la tête de la sélection. Il est vrai que la continuité dans le football est souvent payante. Instaurer une stabilité technique, implique la construction d'un groupe constitué des mêmes joueurs, y instaurer une âme et lui donner une identité. Autant d'éléments primordiaux qui nous ont manqué lors de cette 29ème Coupe d'Afrique des Nations.


Alors que nous étions habitués à changer d’entraineur comme de chemise, garder Rachid Taoussi malgré ce dernier revers, est en soi une évolution qui pourrait être salutaire. Au point où nous en sommes…
Par contre, le coach national doit se remettre en question et corriger plusieurs anomalies qui nous ont été fatales.

Responsabilité:
A la veille de la rencontre devant opposer son équipe au Cap Vert, Rachid Taoussi a surpris plus d'un en déclarant avoir "hérité d'une équipe détruite sur le plan moral" et " les joueurs craignent de se lancer en attaque". Des phrases destructrices pour le moral de ses joueurs à quelques heures d'un match qu'ils doivent absolument remporter.
Au fil des rencontres et des contres performances, Taoussi a commencé, petit à petit, à pointer du doigt nominativement, ou de manières à peine imagées des joueurs de l'équipe nationale. Nous avions droit à " le rythme élevé de la première mi-temps (contre l’Angola) a eu raison d’Al Ahmadi et de Barrada" ou encore " les joueurs se sont repliés inconsciemment", en passant par la très regrettable " Les joueurs m'ont déçu...mais heureusement qu'il y a encore des hommes...". Une fâcheuse habitude qui n'est synonyme que d'une fuite de la responsabilité du patron de l'équipe nationale, dont le rôle est de protéger ses joueurs et non de les lyncher.
Dans ce registre, Rachid Taoussi a d'ailleurs très mal géré sa déception vis à vis de certains joueurs. Alors qu'il avait eu l'excellente idée de garder Assaidi pour la deuxième mi-temps face au Mozambique, Taoussi s'est mis en tête depuis cette rencontre, que le joueur en manque de temps de jeu à Liverpool, doit absolument être titulaire. Ni les matches amicaux, ni les séances d'entrainements n'ont fait douter l'ex-entraineur du MAS, qui après deux désillusions, se prive d'Assaidi lors du dernier match, comme remplaçant. Le même constat peut être fait pour Amrabat ou encore pour Al Ahmadi.
Face à des condamnations directes des joueurs, jamais au grand jamais Rachid Taoussi n'a eu le courage d'assumer ses responsabilités et de se dire responsable. En gros, pour le leader des Lions; premièrement: tous les résultats étaient positifs et deuxièmement: si quelque chose ne tournait pas rond, c'était à cause d'un ou de plusieurs joueurs.

Communication:
Si la fédération a été très longtemps très éloignée de la presse et la communication autour des équipes nationales, l'instance en charge du football essaye depuis quelques années de mieux gérer son image et d'aider la presse à faire son travail. Des efforts tangibles et une évolution positive qui ne peuvent être que salués. Cependant, dans ce processus d'amélioration, la FRMF et Rachid Taoussi ont malheureusement souvent frôlé le ridicule lors des trois dernières semaines.
Nombreux sont ceux qui n'ont pas compris l'affolement causé après la déclaration de Lamyaghri après le deuxième match du Maroc. Suite à des propos tout à fait justifiés "Ce n'est pas le dispositif technique qui fait la différence mais l'engagement et la motivation des joueurs", la fédération, dans un rôle qui n'est pas le sien et qu'elle est loin de maitriser, s'est empressée de demander au joueur de dire, qu'il ne faut pas comprendre, qu'il est contre le dispositif technique de Taoussi et de publier une vidéo du démenti sur son site web.
Toujours dans cet esprit de sur-communication, Rachid Taoussi a multiplié les conférences de presses et les déclarations à risque de se mettre a nu et de s'exposer. Une attitude qui lui a certainement valu le titre "d'entraineur des conférences de presse".
A ce niveau, ce qu'il faut retenir après cette CAN, c'est que la fédération royale marocaine de football doit comprendre qu'elle n'a pas à jouer le rôle de la presse. Il est plus utile que chacun fasse son travail pour évoluer ensemble. De son côté, Rachid Taoussi, devrait plus se focaliser sur une communication et un rapprochement interne au sein de son équipe et de son staff au lieu de chercher à faire comprendre au public que le Maroc a fait un parcours positif après trois matches nuls et deux rencontres extrêmement décevantes.

Mesure:
Le moins que l'on puisse dire au sujet de Rachid Taoussi est que le natif de Sidi Kacem aime se mettre au devant de la scène et adore s'exposer. Extraverti, peut être même un peu trop, Rachid Taoussi n'hésite pas à laisser couler quelques larmes, après un succès (victoire face au Mozambique) ou un échec (élimination de la CAN).
Alors que beaucoup de ses compères restent fermés, voir hermétiques, le coach des Lions de l'Atlas n'éprouve aucune gène à dévoiler des secrets, que d'autres garderaient pour eu, à fin de mieux surprendre l'adversaire. Ainsi, Taoussi a mentionné à plusieurs reprises avant et pendant la CAN qu'il dispose de tous les éléments et de statistiques pointues au sujet de ses adversaires et que son analyse des profils des joueurs et du jeu de chaque équipe lui permettra de parfaitement maitriser son sujet. Malheureusement, le déroulement des événements en Afrique du Sud a démontré que l'entraineur national est complètement passé à côté du sujet. Incapable d'évaluer même l'état de forme de ses propres joueurs, il va sans dire que Taoussi et son équipe de spécialistes (dont Fathi Jamal) ont fait une lecture superficielle des adversaires. Le déroulement des trois rencontres, l'incapacité de l'équipe à développer le jeu, l'absence de ligne directrice prouvent malheureusement l'échec de l’homme et de son équipe de spécialistes. Il est sans aucun doute primordial de faire des analyses statistiques de ses joueurs et de l'adversaire, et nous sur Mountakhab.net, nous sommes les premiers à saluer et encourager ces méthodes, encore faut il les utiliser à bon escient.

Courage:
Connu pour être un entraineur courageux, n'hésitant pas opter pour des schémas tactiques offensifs et des joueurs jeunes et prometteurs, Taoussi a donné un tout autre visage de son savoir-faire lors de la dernière CAN. Préférant commencer la CAN avec beaucoup de prudence, Taoussi a même cherché le point du match nul lors de la première sortie face à l'Angola, vaincue depuis par les deux autres équipes du groupe. Une grossière erreur qui nous à couté notre CAN. Pire, même lors de la rencontre que le Maroc maitrisait parfaitement face à l'Afrique du Sud, le technicien marocain a préféré se replier en défense en deuxième mi-temps, alors qu'il aurait été plus judicieux de tuer le match. Le résultat est là, menant au score à deux reprises, le Maroc s'est fait rejoindre à chaque fois et a été éliminé en fin de compte.

Dimanche dernier, la CAN était déjà finie pour Taoussi et pour son équipe. Encore une fois, le public marocain n'avait d'autre choix que d'avaler la pilule et d'espérer un meilleur lendemain. Un lendemain qui finira certainement par arriver. Malgré cette nouvelle déception et les nombreuses lacunes relevées sur le comportement et la gestion de Rachid Taoussi, nous espérons tous, que ce dernier réussira très vite à corriger les erreurs commises et profitera des éliminatoires du prochain Mondial pour faire oublier cette pitoyable CAN. Si les titres remportés par le techniciens parlent pour lui et confirment sa compétence, il va sans dire que le nouvel homme fort de l’équipe nationale a perdu ici une bataille et que nous lui espérons de tout cœur de remporter les suivantes.

Mountakhab

https://www.youtube.com/watch?v=5cKy4dTFYQk&feature=youtu.be

Taoussi, local et low cost



Les sélectionneurs passent, et les mauvais résultats persistent. Le remplacement d’Eric Gerets par Rachid Taoussi, s’il aura certainement permis à la Fédération royale marocaine de football de faire de substantielles économies, n’a en rien infléchi la trajectoire des Lions de l’Atlas. Des promesses, des embellies passagères et, sur le long terme, des résultats encore et toujours médiocres voire franchement catastrophiques, comme ce fut le cas dimanche en Tanzanie, où les partenaires d’Abdelaziz Barrada sombrèrent dès le premier but concédé pour finalement s’incliner (3-1). Si l’avenir de Rachid Taoussi n’est pas encore officiellement tranché, le Maroc a d’ores et déjà dit adieu à la Coupe du monde 2014 – avec 5 points de retard sur la Côte d’Ivoire et 4 sur la Tanzanie, les Lions sont largués dans le groupe D. De quoi cet échec est-il le nom ? Footafrica365.fr vous livre des éléments de réponse.

Depuis sa prise de fonction, à l’automne dernier, en lieu et place d’Eric Gerets, Rachid Taoussi a échoué à dégager une équipe type. Qualifiant souvent le Maroc d « équipe en construction », l’ancien coach du MAS de Fès n’a pas donné l’impression de poser des fondations solides. Au contraire, le technicien a beaucoup tâtonné : dès son premier match, ce barrage retour à la vie à la mort face au Mozambique, il lançait le totalement inexpérimenté Aqqal… avant de le remplacer dès la pause par Assaïdi. Cette volte-face n’est pas la seule à avoir émaillé les quelques mois de Rachid Taoussi au poste de sélectionneur. Certes, les blessures ne favorisent pas forcément la stabilité, mais la décision de donner la priorité ux joueurs locaux après la CAN (avec 16 joueurs de Botola convoqués pour le déplacement en Tanzanie) n’aura pas favorisé ladite stabilité.

Entraîneur passé, avec un succès certain, sur les bancs des plus grands clubs du pays, Rachid Taoussi aurait-il surestimé la qualité du Championnat marocain ? La priorité donnée brutalement aux joueurs locaux semble en tout cas relever d’un choix plus politique que sportif. Selon nos sources proches de la sélection, il s’agissait dans l’esprit du coach de mettre en avant des vertus de discipline et de solidarité, parfois moins évidentes chez les joueurs binationaux. A mots couverts, Rachid Taoussi ne dit pas autre chose dans sa récente interview au site arabophone kifache.com. « Le premier point positif qu’on a atteint c’est qu’en cas de victoire ou de défaite, il n’y a plus jamais de problèmes au sein du groupe, on a su instaurer le respect même après les défaites, on peut dire qu’on a nettoyé la maison de l’équipe nationale », déclare celui qui est encore le sélectionneur du Maroc.

Problème : aussi louable soit leur état d’esprit, beaucoup des joueurs convoqués pour affronter la Tanzanie n’ont tout simplement pas le niveau international. Rachid Taoussi semble avoir oublié qu’il doit sa nomination à une défaite similaire au Mozambique, où Eric Gerets avait déjà eu le tort de faire confiance à une défense au trois quarts locale. Mêmes causes, mêmes effets… Quant au malheureux Hamza Abourazzouk, il doit certes sa promotion aux saisons blanches à répétition de Marouane Chamakh et Mounir El Hamdaoui, mais comment justifier de ne pas avoir lancé Youssef El Arabi plus tôt dans un tel match ? Interrogé après la renconre sur cette faillite collective et individuelle, Rachid Taoussi avait chargé ses joueurs, indiquant en substance qu’il ne pouvait marquer à leur place. Vraiment ?
La mise à l'écart de Kharja

Après avoir gagné deux points en 2012 quand Eric Gerets était encore aux commandes, le Maroc a terminé la phase aller des éliminatoires du Mondial 2014 par une défaite synonyme, sauf miracle inédit, d’élimination. Rachid Taoussi a-t-il su mettre tous les atouts du côté des Lions de l’Atlas ? On peut en douter : l’équipe nationale olympique avait montré de belles promesses lors des JO de Londres 2012. Or peu de ses meilleurs éléments n’ont depuis eu droit, ne serait-ce qu’en match amical, aux honneurs de l’équipe A. Quant au « taulier » historique, Houssine Kharja, qui fut encore de loin le meilleur élément de son équipe à la CAN 2012, il n’est plus appelé par le nouveau maître de lieux.

A la grande déception, teintée de dégoût, de l’intéressé : « Après notre défaite au Mozambique (0-2), j'étais hyper joignable, on arrivait à me joindre. On m'avait demandé de motiver les troupes, et de dire aux joueurs que nous pouvions renverser la situation au retour (4-0 pour le Maroc). A ce moment là, tout le monde avait mon téléphone. Nous nous sommes qualifiés et puis plus de nouvelles, même pas un SMS », nous expliquait-il en décembre dernier, avant d’accuser le nouveau sélectionneur. « C'est un peu lâche, d'autant que [Rachid Taoussi] a peu sali mon image au Maroc, en disant je ne répondais pas au téléphone. Ce qui a fait croire à tout le monde que je n'allais pas être retenu pour des raisons disciplinaires. »

Sans Houssine Kharja, les Lions de l’Atlas furent une fois de plus éliminés au premier tour de la CAN. Déjà hors du coup pour la qualification au Mondial 2014, le Maroc n’a plus que « sa » Coupe d’Afrique, en 2015, pour entrevoir des jours meilleurs. Sans doute sans Rachid Taoussi, qui a probablement grillé en Tanzanie son dernier joker.

http://www.footafrica365.fr/infos-pays/maroc/article_627784_maroc-lions-de-l-atlas-Taoussi-local-et-low-cost.shtml

fanfar a écrit:

Rachid Taoussi signe aujourd'hui officiellement un contrat de 3 ans avec l'AS FAR.

bon pour que on lexcuse faudrait qu il gagne son premier match a Casa ce dimanche   

5 matchs, 2 points sur 15, 1 but marqué.
faudrait qu il se réveille